Arles est une commune du département des Bouches-du-Rhône, en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Il s'agit de la plus grande commune de France métropolitaine avec quelque 75 893 hectares de superficie (malgré plusieurs déductions successives). La ville est traversée par le Rhône et se trouve entre Nîmes (à 27 km à l’ouest) et Marseille (à 80 km à l’est).
Le nom d’Arles dérive d’Arelate, mot d’origine celtique signifiant lieu situé près de l’étang, par référence aux terrains marécageux qui entourent la cité. Durant l'âge du fer (VIIIe ‑ IIe siècle avant J.-C.), Arles constitue l'un des principaux oppida de la Celtique méditerranéenne. Vers 50 av. J.-C., Jules César appelle encore la cité Arelate dans ses Commentaires sur la Guerre civile (I, 36, 4).
Cette ville, dont les habitants sont appelés Arlésiens, a en effet plus de 2 500 ans. Des monuments remarquables ont été construits pendant l’Antiquité à l’époque romaine, comme le théâtre antique, les arènes, les alyscamps ou encore le cirque romain. En 2008, le plus vieux buste connu de Jules César a été découvert dans le Rhône. En raison de son important patrimoine, la cité est classée ville d'art et d'histoire et ses monuments romains et romans sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité depuis 1981.
Ouverte au tourisme qui est la première activité de la ville, elle accueille de nombreuses festivités tout le long de l’année : en décembre, Drôles de Noëls, en avril, la Feria pascale, les Rencontres internationales de la photographie pendant l'été, ainsi qu’en septembre, la Fête du riz.
La commune a obtenu deux fleurs au concours des villes et villages fleuris.
Les Rencontres d'Arles (anciennement nommées Rencontres internationales de la photographie d'Arles) sont un festival estival annuel de photographie, fondé en 1970 par le photographe arlésien Lucien Clergue, l'écrivain Michel Tournier et l'historien Jean-Maurice Rouquette.
Avec une programmation composée essentiellement de productions inédites, les Rencontres d’Arles ont acquis une envergure internationale. Lors de l'édition de 2011, le festival a accueilli 84 000 spectateurs.
Souvent produites en collaboration avec des musées et des institutions françaises et étrangères, les expositions présentées dans différents lieux patrimoniaux de la ville font l’objet d’une scénographie. Certains sites, tels que des chapelles du XIIe ou des bâtiments industriels du XIXe, sont ouverts au public pendant la durée du festival.
De nombreux photographes ont été révélés grâce aux Rencontres d’Arles, ce qui confirme l’importance du festival dans son rôle de tremplin pour la photographie et la création contemporaine.
Au cours des dernières années, les Rencontres d'Arles ont invité de nombreux commissaires et confié une partie de leur programmation à des personnalités comme Martin Parr en 2004, Raymond Depardon en 2006 ou le couturier originaire d'Arles Christian Lacroix en 2008. Le titre du programme des Rencontres d'Arles 2013 sera "Le noir et blanc".
Doisneau et Kertész aux sixièmes Rencontres en 1975
La 44e édition du rendez-vous annuel de la photographie a ouvert ses portes le 1er juillet et ce, jusqu’au 22 septembre prochain. Entre clichés en noir et blanc et œuvres réalistes, le BHV vous propose de découvrir les cinq expositions incontournables des Rencontres d’Arles 2013.
1/ Guy Bourdin : Untouched
Ancien photographe de mode pour « Vogue », Guy Bourdin s’est fait connaître à travers une oeuvre riche en couleurs et très éclectique. Aujourd’hui, aux Rencontres d’Arles, nous découvrons ses tous premiers clichés, en noir et blanc, tous aussi brillants les uns que les autres.
2/ Giuseppe Penone : Entre les lignes
L’inscription du corps dans la nature : voilà le sujet de prédilection de Giuseppe Penone, qui travaille ses photographies comme une véritable performance poétique. Aux Rencontres d’Arles, ses œuvres réalisées dans les années 70 sont exposées, accrochées près de sculptures plus récentes … Une entité qui occupe l’espace tout en laissant au spectateur l’oxygène nécessaire.
3/ Pieter Hugo : There’s a Place in Hell for Me and My Friends
Véritable artiste militant, Pieter Hugo, photographe sud-africain, use et abuse des logiciels de photo pour convertir les portraits de ses amis en figures de zombies, sans origine ni histoire. Une sorte de pied de nez à son pays où la couleur de peau divise encore la nation.
4/ Sergio Larrain : Rétrospective
Grande rétrospective du photographe Sergio Larrain aux Rencontres d’Arles. Le chilien, décédé en 2012, exerçait son art comme l’on fait de la magie : un vent de liberté souffle sur ses œuvres, prises entre les années 50 et les années 60 aux quatre coins du monde. Un voyage sans fin sur une époque désormais révolue.
5/ Mars, une exploration photographique
Qui n’a jamais rêvé de poser le pied sur Mars ? L’appareil photo le plus puissant du monde, lui, l’a déjà fait. Installé sur une sonde au-dessus de la planète rouge, ce dernier livre des images de cratères et vallées aux reliefs vertigineux.
Le nom d’Arles dérive d’Arelate, mot d’origine celtique signifiant lieu situé près de l’étang, par référence aux terrains marécageux qui entourent la cité. Durant l'âge du fer (VIIIe ‑ IIe siècle avant J.-C.), Arles constitue l'un des principaux oppida de la Celtique méditerranéenne. Vers 50 av. J.-C., Jules César appelle encore la cité Arelate dans ses Commentaires sur la Guerre civile (I, 36, 4).
Cette ville, dont les habitants sont appelés Arlésiens, a en effet plus de 2 500 ans. Des monuments remarquables ont été construits pendant l’Antiquité à l’époque romaine, comme le théâtre antique, les arènes, les alyscamps ou encore le cirque romain. En 2008, le plus vieux buste connu de Jules César a été découvert dans le Rhône. En raison de son important patrimoine, la cité est classée ville d'art et d'histoire et ses monuments romains et romans sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité depuis 1981.
Ouverte au tourisme qui est la première activité de la ville, elle accueille de nombreuses festivités tout le long de l’année : en décembre, Drôles de Noëls, en avril, la Feria pascale, les Rencontres internationales de la photographie pendant l'été, ainsi qu’en septembre, la Fête du riz.
La commune a obtenu deux fleurs au concours des villes et villages fleuris.
Les Rencontres d'Arles (anciennement nommées Rencontres internationales de la photographie d'Arles) sont un festival estival annuel de photographie, fondé en 1970 par le photographe arlésien Lucien Clergue, l'écrivain Michel Tournier et l'historien Jean-Maurice Rouquette.
Avec une programmation composée essentiellement de productions inédites, les Rencontres d’Arles ont acquis une envergure internationale. Lors de l'édition de 2011, le festival a accueilli 84 000 spectateurs.
Souvent produites en collaboration avec des musées et des institutions françaises et étrangères, les expositions présentées dans différents lieux patrimoniaux de la ville font l’objet d’une scénographie. Certains sites, tels que des chapelles du XIIe ou des bâtiments industriels du XIXe, sont ouverts au public pendant la durée du festival.
De nombreux photographes ont été révélés grâce aux Rencontres d’Arles, ce qui confirme l’importance du festival dans son rôle de tremplin pour la photographie et la création contemporaine.
Au cours des dernières années, les Rencontres d'Arles ont invité de nombreux commissaires et confié une partie de leur programmation à des personnalités comme Martin Parr en 2004, Raymond Depardon en 2006 ou le couturier originaire d'Arles Christian Lacroix en 2008. Le titre du programme des Rencontres d'Arles 2013 sera "Le noir et blanc".
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Doisneau et Kertész aux sixièmes Rencontres en 1975
Rencontres d’Arles :
les cinq expos à ne pas manquer
publié le Vendredi 12 juillet 2013 à 09:15
La 44e édition du rendez-vous annuel de la photographie a ouvert ses portes le 1er juillet et ce, jusqu’au 22 septembre prochain. Entre clichés en noir et blanc et œuvres réalistes, le BHV vous propose de découvrir les cinq expositions incontournables des Rencontres d’Arles 2013.
1/ Guy Bourdin : Untouched
Ancien photographe de mode pour « Vogue », Guy Bourdin s’est fait connaître à travers une oeuvre riche en couleurs et très éclectique. Aujourd’hui, aux Rencontres d’Arles, nous découvrons ses tous premiers clichés, en noir et blanc, tous aussi brillants les uns que les autres.
2/ Giuseppe Penone : Entre les lignes
L’inscription du corps dans la nature : voilà le sujet de prédilection de Giuseppe Penone, qui travaille ses photographies comme une véritable performance poétique. Aux Rencontres d’Arles, ses œuvres réalisées dans les années 70 sont exposées, accrochées près de sculptures plus récentes … Une entité qui occupe l’espace tout en laissant au spectateur l’oxygène nécessaire.
3/ Pieter Hugo : There’s a Place in Hell for Me and My Friends
Véritable artiste militant, Pieter Hugo, photographe sud-africain, use et abuse des logiciels de photo pour convertir les portraits de ses amis en figures de zombies, sans origine ni histoire. Une sorte de pied de nez à son pays où la couleur de peau divise encore la nation.
4/ Sergio Larrain : Rétrospective
Grande rétrospective du photographe Sergio Larrain aux Rencontres d’Arles. Le chilien, décédé en 2012, exerçait son art comme l’on fait de la magie : un vent de liberté souffle sur ses œuvres, prises entre les années 50 et les années 60 aux quatre coins du monde. Un voyage sans fin sur une époque désormais révolue.
5/ Mars, une exploration photographique
Qui n’a jamais rêvé de poser le pied sur Mars ? L’appareil photo le plus puissant du monde, lui, l’a déjà fait. Installé sur une sonde au-dessus de la planète rouge, ce dernier livre des images de cratères et vallées aux reliefs vertigineux.
Laissez moi vous raconter ma rencontre avec Arles.
Eté 2003, je suis en vacances chez mes amis à Saint Gilles une ville dans le Gars limitrophe avec le département des Bouches du Rhône. J'étais venue avec ma voiture afin qu'on puisse visiter les alentours même si beaucoup de villes m'étaient connues, j'ai eut plaisir à les revoir en compagnie de mon amie.
Nous nous trouvons donc à Arles et je m'aperçois qu'on est en plein festival de la photographie. Je n'avais jamais entendu parler des rencontres d'Arles. J'ai donc fait les expositions qui se trouvaient à l'espace Van Gogh là où on avait mangé dans un petit resto bien sympathique. Mais mon amie n'ayant pas participé nous avons visité la ville sans aller dans d'autres expositions. Peu importe je repartais dans l'Aude un samedi soir donc j'allais me consacré ma journée du samedi aux rencontres d'Arles. Je n'ai pas été déçue le moins du monde.
Petite Anecdote : je me gare au même parking que quand j'étais venue avec mon amie et me voilà toute la journée à dévorer les expositions l'une après l'autre. J'ai même mangé dans ce même resto que j'avais apprécié le temps du midi.
Fatiguée mais ravie j'ai tout fait et me voilà me dirigeant vers la voiture. Oui mais voilà plus de voiture. Tête en l'air, il y avait le marché le matin et le panneau mise en fourrière sur le parking ça y est tout va vite et se regroupe dans ma tête elle est en fourrière !!!
Me voilà partie au poste de police. Après mon explication, le policier téléphone à la fourrière, elle n'y est pas on a dû vous la voler, un couple de Montpellier a déjà eut ce problème avant vous, il faut déposer plainte comme eux.... Pfffffffff galère !!! Après avoir tout fait et en attendant dans le hall afin que la police fasse une enquête, je suis dépitée tout ce que j'ai dans la voiture et la voiture elle-même plus rien grrrrr !!! Puis j' entends des voix dans le hall "où sont les pèquenots à qui ont leur à voler leur voiture !!!" Evidemment les Montpelliérains étaient déjà repartis eux, on était venu les chercher, information que je tenais du policier qui m'avait entendu, il ne restait que moi ....
Péquenots je t'en foutrais tiens je me suis pensée. Euuuuuh venez dans les parkings de Arles et vous comprendrez ils se ressemblent tous et je ne suis ni la première ni la dernière à qui c'est arrivé ! Je me suis trompée de parking, les policiers m'ont ramenée à la voiture, sagement garée, elle m'attendait. Celle de Montpellier, ils ont certainement dû revenir la chercher dans la soirée ou le lendemain.
On ne rigole pas s'il vous plait...A qui s'est jamais arrivé de perdre sa voiture ? Et puis d'abord moi je n'ai pas pensé à un vol mais à une mise en fourrière ...Le policier lui de suite c'est un vol ....Mais je pense que beaucoup de personnes à Arles se trompent. C'est pour ceux-là que la police a l'habitude de ce genre de problème vu la ressemblance des parkings de la ville !
Je suis revenue en 2004, 2005, 2006 et 2008 voir ce festival avec une amie, on le faisait en 2 jours pour tout apprécier et on se régalait. Depuis je ne suis pas revenue. J'ai failli venir cette année mais hélas je n'ai pas pu. L'an prochain je veux y revenir car j'ai beaucoup aimé ce festival. Dommage qu'il est si loin de chez moi.
Perpignan est une ville française chef-lieu du département des Pyrénées-Orientales situé en région Languedoc-Roussillon. Elle est la préfecture du département des Pyrénées-Orientales.
Ancienne capitale continentale du royaume de Majorque, Perpignan fait le pont entre la péninsule Ibérique et le Sud de la France. Aujourd'hui Perpignan est la capitale intellectuelle, culturelle, politique et économique du sud de la région et du nord de la Catalogne.
Les habitants de Perpignan sont appelés les Perpignanais et les Perpignanaises.
Perpignan comptait 117 905 habitants intra-muros lors du recensement de 2009. Elle est la 30e commune la plus peuplée de France. En 2010, la population de son aire urbaine était de 305 837 habitants. Il s'agit de la deuxième du Languedoc-Roussillon et l'unité urbaine de Perpignan était de 190 668 habitants en 2010.
Perpignan est :
- une ville fleurie quatre fleurs
- Ville Internet 2012 @@@@@
Le Castillet vu du quai Vauban.
Visa pour l'Image est le festival international de photojournalisme créé en 1989, qui se déroule chaque année dans toute la ville de Perpignan, de fin août à mi-septembre pour une durée de 15 jours. Il s'agit du principal et plus important festival de photojournalisme en France.
Ce festival propose non seulement des expositions réparties à travers la ville, mais aussi des conférences, des rencontres internationales et des remises de prix prestigieux aux photographes mondiaux en récompensant les meilleurs reportages. Les plus célèbres photographes du monde entier se donnent rendez-vous à ce festival. Des photographes comme Herb Ritts ou Claude Gassian ont déjà participé au festival.
L'association de Paris Match, Photo et d'autres partenaires (comme le groupe Hachette Filipacchi) ont progressivement décidé le ministère de la Culture et de la Communication, des partenaires locaux, mais aussi le partenaire historique Canon à soutenir cet événement. Des laboratoires photographiques sont également partenaires de l'événement : Central Color, Dupon et e-Center.
Perpignan : Visa pour l'Image fête sa 25ème édition
La rétrospective du travail de Don McCullin à l'Eglise des Dominicains, L'un des derniers géants du photojournalisme à ne pas avoir exposé à Perpignan. (VINCENT PEREIRA)
Visa pour l'Image 2013 a débuté fin août à Perpignan. Le festival de photojournalisme entame ainsi sa 25 édition. Au programme 23 expositions vous sont proposées dans 9 lieux différents.
Que pensent les nombreux visiteurs venus admirer le travail des photo-reporters qui sillonnent le monde, luttant ainsi contre l'obscurantisme, l'extrémisme et toutes ses conséquences.
Au delà de la belle photographie, les sujets qui sont présentés appellent à voir la vie différemment et à réfléchir à notre propre condition… Salutaire.
Alors si vous aussi vous voulez être surpris comme les 220 000 visiteurs de l'année dernière. Rendez-vous à Perpignan jusqu'au 15 septembre.
Laissez moi vous raconter le festival
Cela fait des années que je vais voir ce festival et j'apprécie énormément même si c'est beaucoup de sujets graves. C'est important de connaitre le monde à travers ces photos qui nous donne bien souvent une leçon d'humilité ! Ah c'est sûr, ça change de la presse People que je n'aime pas et qui inonde nos kiosques journaux toute l'année. J'y vais avec mes amis et depuis quelque temps avec une amie. On y passe la journée et en plus d'être gratuit c'est tout près de chez moi.
L'an prochain peut-être on prendra l'accréditation afin de faire un peu plus que ce qu'on fait habituellement, en tout cas on en avait parlé n'est pas Chris ?
Cerbère est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales et la région Languedoc-Roussillon. Elle dispose de la station balnéaire la plus au sud de la France métropolitaine à l'Ansa de Terrimbo au sud du Cap de Peyrefite.
Ses habitants sont appelés les Cerbériens.
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Vue sur la plage de Cerbère depuis la route menant au Cap.
Rencontres Cinématographiques de Cerbère-Portbou
Au Belvédère chaque premier week-end du mois d'octobre (à partir du jeudi) depuis 2005, les « Rencontres Cinématographiques de Cerbère-Portbou » s’organisent à partir de sept séances proposées par des festivals ou des cinéastes différents. Projections uniques et différentes qui associent à chaque fois un court et un long métrage, qu’il s’agisse de documentaires ou de fictions, de films anciens ou récents, français, espagnols ou d’ailleurs. Les Rencontres permettent de désigner deux lauréats qui bénéficient alors d’une résidence destinée à l’écriture et/ou aux repérages d’un film à venir (sur un territoire allant de Portbou à Collioure) la responsabilité de proposer chacun une séance.
Laissez moi vous parler de ce festival
C'est intéressant mais pas tout car on est hermétique à quelques créations dans l'art contemporain. Que ce soit la photo, les installations ou la vidéo ça ne fait pas exception. Vaste programme que l'art contemporain .... Mais ça est un autre débat. Normalement je retente le concours photo mais avant je relis le règlement à fond car j'ai un point que je voudrais éclaircir. Et normalement aussi une photo de ma série fera lieu d'affiche pour la 10ème année de ce festival. Je vous en reparlerais quand ça sera signé.
L'an prochain, je voudrais venir avec une amie voir le festival cinématographique comme cette année
en prenant un mobil home au camping de Cerbère.
A demain comme promis Paris
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