Durant cette semaine, nous allons visité ou revisité quelques villes ou villages français que je connais.
La semaine prochaine ça sera autour de villes étrangères que j'ai visité.
Aujourd'hui : Carcassonne (ville où je suis née)
Carcassonne est une commune française, préfecture du département de l'Aude dans la région Languedoc Roussillon. Elle se situe dans le sud de la France.
Ses 48 112 habitants sont appelés les Carcassonnais.
Carcassonne est la ville principale de la Carcassonne Agglo 105 104 habitants (2010), de l'aire urbaine de Carcassonne 96 420 habitants(2009) et de son unité urbaine qui compte 50 343 (2009).
Le nombre d'habitants a augmenté encore depuis 2013 car beaucoup d'autres communes se sont rajoutés dont la mienne (Raissac sur Lampy) qui font partie à présent de Carcassonne Agglo. Faudra attendre le recensement pour en connaitre le nombre.
Occupée depuis le Néolithique Carcassonne se trouve dans la plaine de l'Aude entre deux grands axes de circulation reliant l'Atlantique à la mer Méditerranée et le Massif central aux Pyrénées.
La ville est connue pour la Cité de Carcassonne, ensemble architectural médiéval restauré par Viollet-le-Duc au XIXe siècle et inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO, depuis 1997.
Parlons culture
La semaine prochaine ça sera autour de villes étrangères que j'ai visité.
Aujourd'hui : Carcassonne (ville où je suis née)
Carcassonne est une commune française, préfecture du département de l'Aude dans la région Languedoc Roussillon. Elle se situe dans le sud de la France.
Ses 48 112 habitants sont appelés les Carcassonnais.
Carcassonne est la ville principale de la Carcassonne Agglo 105 104 habitants (2010), de l'aire urbaine de Carcassonne 96 420 habitants(2009) et de son unité urbaine qui compte 50 343 (2009).
Le nombre d'habitants a augmenté encore depuis 2013 car beaucoup d'autres communes se sont rajoutés dont la mienne (Raissac sur Lampy) qui font partie à présent de Carcassonne Agglo. Faudra attendre le recensement pour en connaitre le nombre.
Occupée depuis le Néolithique Carcassonne se trouve dans la plaine de l'Aude entre deux grands axes de circulation reliant l'Atlantique à la mer Méditerranée et le Massif central aux Pyrénées.
La ville est connue pour la Cité de Carcassonne, ensemble architectural médiéval restauré par Viollet-le-Duc au XIXe siècle et inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO, depuis 1997.
Parlons culture
Exposition : "Van Binh s’expose à la justice", jusqu’au 31 décembre 2013 au palais de justice de Carcassonne.
Le célèbre plasticien Van Binh expose ses sculptures dans l’enceinte même du palais de justice de Carcassonne. Une initiative unique en Europe, faite à la demande même des fonctionnaires du tribunal qui espèrent à travers l’art, rendre ce lieu plus humain et plus moderne.
Quel est le point commun entre l’art et la justice ?
Peut être que le premier peut adoucir la sentence du second.
Le palais de justice de Carcassonne accueil jusqu’à la fin de l’année une centaine d’œuvre du plasticien Van Binh avec notamment ces imposantes silhouettes d’acier, à la fois si fragiles et si dures, tout comme la justice qui ne peut se laisser aller à l’émotion.
Humaniser un espace ou se croisent des vies brisées où s’expriment les drames de notre société, c’est l’ambition de l’association Anim’justice à l’origine du projet. Ces fonctionnaires espèrent changer le regard que l’on porte sur la justice et sur le tribunal qui devient un espace où s’expriment la beauté et l’espoir.
L’artiste n’a pas hésité à relever le pari. Pendant plusieurs mois, il s’est imprégné des lieux, discutant avec les magistrats. Le résultat, des œuvres créées pour l’occasion qui expriment la violence et l’émotion.
Van Binh, affirme "Si l’Art peut être un fil conducteur et permettre de mieux comprendre les rouages de la justice et rendre les lieux plus humains, le pari est déjà gagné."
Jusqu'à la fin de l'année, le tribunal transformé en galerie d’Art ouvre ses portes non seulement aux justiciables mais aussi au grand public.
Article de France3/ CultureBox
Je vais y aller si vous êtes prêt de Carcassonne laissez vous tenter :) !
Parlons Histoire
(pour les courageux qui aiment lire)
Ville fortifiée historique de Carcassonne
Depuis la période préromaine, des fortifications ont été érigées sur la colline où est aujourd'hui située Carcassonne. Sous sa forme actuelle, c'est un exemple remarquable de cité médiévale fortifiée dotée d'un énorme système défensif entourant le château et les corps de logis qui lui sont associés, les rues et la superbe cathédrale gothique. Carcassonne doit aussi son importance exceptionnelle à la longue campagne de restauration menée par Viollet-le-Duc, l'un des fondateurs de la science moderne de la conservation.
Justification d'inscription
Le Comité a décidé d'inscrire ce bien sur la base des critères (ii) et (iv). La ville historique de Carcassonne est un excellent exemple de cité médiévale fortifiée dont l'énorme système défensif a été construit sur des remparts datant de la fin de l'Antiquité. Elle doit son importance exceptionnelle aux travaux de restauration entrepris pendant la deuxième moitié du 19ème siècle par Viollet-le-Duc qui influença fortement l'évolution des principes et des pratiques de conservation.
Description longue
La ville historique de Carcassonne est un excellent exemple de ville fortifiée médiévale ; ses remparts massifs ont été construits sur des murailles remontant à la fin de l'Antiquité. Elle présente une importance particulière du fait du travail de restauration qui y a été effectué dans la seconde moitié du XIXe siècle par Viollet-le-Duc, dont le travail a exercé une influence profonde sur le développement des principes et de la pratique de la conservation.
Dès l'époque préromaine, un site fortifié existait sur la colline aujourd'hui occupée par Carcassonne. La plus ancienne occupation connue du lieu remonte au VIe siècle av. J.-C., époque de la construction d'une forteresse (oppidum) sur l'éperon rocheux dominant la vallée de l'Aude et les anciennes routes reliant l'Atlantique à la Méditerranée, et la péninsule Ibérique au reste de l'Europe. En 27 av. J.-C., cette agglomération, Carcaso Volcarum Tectosagum , devint la colonie latine Iulia Carcaso . Au cours des années agitées de la fin du IIIe et du début du IVe siècle, la ville a été protégée par la construction d'un mur d'enceinte de quelque 1 200 m de longueur. La fortification consistait en deux lignes de murs et un château, lui-même entouré par des fortifications qui s'étendent sur une longueur totale de 3 km. Leur tracé suit en grande partie celui de la muraille romaine, qui est bien visible sur les deux tiers de sa longueur. Les murs romains étaient renforcés par des bastions en fer à cheval disposés à intervalles relativement réguliers. La technique de construction est typique de l'époque romaine tardive : un noyau de maçonnerie revêtu d'un parement de pierres de taille équarries alterné avec des assises de briques, au-dessus d'une fondation en blocage. La porte Narbonnaise, à l'est, et la porte de l'Aude, à l'ouest, sont des ouvrages défensifs particulièrement élaborés.
La ville passa sous domination des Wisigoths au Ve siècle et résista longtemps aux tentatives des Francs de s'en emparer. Les Arabes eurent plus de succès en 724, mais ils en furent chassés en 759, au terme d'un siège mené par Pépin le Bref. La période wisigothique vit la création d'un évêché à Carcassonne, à un moment indéterminé du VIe siècle. Il est probable qu'une cathédrale y fut alors construite à l'emplacement de la cathédrale romane actuelle, dont les travaux commencèrent en juin 1096.
Le château comtal du XIIe siècle, construit sur la partie occidentale des murs romains, a été protégé par une enceinte rectangulaire en 1226. À la fin du XIIIe siècle, la ville avait pris sa physionomie définitive de forteresse médiévale. Une insurrection locale, en 1262, poussa le roi à expulser la quasi-totalité de ses habitants auxquels il permit toutefois de s'installer sur la rive opposée de la rivière, où la nouvelle ville fut bientôt elle-même fortifiée, en 1347.
La partie principale de la cathédrale, consacrée aux saints Nazaire et Celse, consiste en une nef centrale formée de six travées, couverte par une voûte en berceau brisé et par deux étroites nefs latérales qui présentent presque la même hauteur, et sont couvertes par une voûte en berceau. Les arcs transversaux de la voûte en berceau partent alternativement de colonnes et de piliers cantonnés de demi-colonnes. Le chœur roman d'origine a été remplacé à la fin du XIIIe siècle par une imposante structure du gothique rayonnant qui forme un large transept terminé, vers l'est, par une abside hexagonale. Cette solution est une variante de celle appliquée dans les cathédrales du gothique rayonnant du nord de la France, où l'accent était mis sur chœur lui-même ; souligner l'importance du transept relève davantage de la tradition romane, qui est ici gothicisée. Son extérieur, comme celui de beaucoup d'églises gothiques du sud de la France, ne présente aucun arc-boutant, puisque c'est le système de couvrement interne qui assure la stabilité de l'édifice. Elle contient différentes sculptures importantes, notamment la tombe de l'évêque Radulph, du XIIIe siècle. Les vitraux des baies de l'abside et du transept sont d'exceptionnelles œuvres d'art. Ils ont été réalisés au cours de trois périodes : fin du XIIIe , début du XIVe et XVIe siècle.
Carcassonne présente aussi une importance exceptionnelle en raison de la longue campagne de restauration dont le site a fait l'objet, dans la seconde moitié du XIXe siècle, à l'initiative d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, l'un des fondateurs de la science moderne de la conservation.
Source : UNESCO/CLT/WHC
Description historique
Les fortifications, composées de deux enceintes et d'un château, lui-même entouré de fortifications, s'étendent sur une longueur totale de 3 km.
Les remparts intérieurs, longs de 1 250 mètres, comprennent vingt-six tours circulaires ou en fer-à-cheval. Ils se superposent en grande partie aux défenses romaines clairement visibles sur les deux tiers de leur longueur. Les remparts romains, d'environ 3 mètres d'épaisseur et 6 à 8 mètres de hauteur, sont renforcés par 34 à 38 bastions en fer-à-cheval disposés à intervalles relativement réguliers. La maçonnerie est caractéristique du style romain tardif : blocage revêtu d'assises de pierres de taille équarries entrecoupées d'assises de briques et bâties sur des fondations en béton. Les bastions sont construits sur de solides bases cubiques surmontées de tours comprenant des remparts externes semi-circulaires dont le niveau inférieur est rempli de blocage afin de résister aux chocs des béliers. Au 13ème siècle, lors de l'édification des remparts externes, cette enceinte est renforcée et reconstruite dans le style médiéval et dotée de créneaux.
Les remparts extérieurs, d'une longueur de 1 650 mètres, comportent dix-neuf tours rondes. Trois sont des barbacanes et la quatrième constitue un passage couvert reliant l'enceinte et la grande barbacane qui sera démolie au l9ème siècle. Les murs sont un peu moins hauts que ceux des remparts internes (7 à 10 mètres). Les tours sont ouvertes sur leur côté intérieur afin d'empêcher tout ennemi qui s'en serait emparé d'y trouver refuge. L'enceinte (excepté dans l'angle sud-est où la topographie naturelle offre une protection suffisante) est entourée de douves de 4 mètres de profondeur. L'espace entre les deux lignes de fortifications (les lices) est approfondi et nivelé.
A la fin du 13ème siècle, les deux séries de remparts ont fait l'objet d'une reconstruction pendant la phase finale de l'édification. Ainsi, les deux tiers des remparts intérieurs sont en grande partie reconstruits et modernisés et quatre tours sont agrandies, conformément à l'évolution de l'architecture militaire. L'une d'elles, la Porte Narbonnaise, qui représente l'une des entrées principales de la cité, est particulièrement imposante et bien aménagée.
Le château est attenant au côté intérieur de la ligne de défense interne sur la face ouest. Les remparts de la cour intérieure sont renforcés par dix tours rondes, une barbacane et des douves asséchées. Le corps de logis se divise en deux parties : l'une, bâtie contre le mur, présente deux tours trapues à une extrémité, tandis que l'autre est à angle droit. Dans leur forme d'origine, toutes deux comportaient deux étages uniquement et étaient surmontées d'un parapet crénelé.
Les remparts entourant le château et les tours sont construits au 13ème siècle, pendant la seconde phase. L'enceinte de murs crénelés est rectangulaire et munie de meurtrières. Trois bastions des remparts romains y sont également incorporés. Elle est conçue dans le style d'architecture militaire caractéristique du nord et de l'ouest de la France.
Les deux entrées principales de la cité fortifiée, la Porte Narbonnaise sur la façade est et la Porte de l'Aude sur la façade ouest représentent des dispositifs défensifs particulièrement élaborés.
Le corps principal de la cathédrale, dédiée aux saints Nazaire et Celse, comprend une nef centrale à six travées, une voûte en berceau brisé et deux collatéraux d'une hauteur comparable et entièrement voûtés. Les arcs transversaux de la voûte en berceau partent alternativement de piliers carrés cantonnés de demi-colonnes et de piles rondes. Des frises à motifs géométriques et végétaux ornent tout le tour des chapiteaux.
Vers la fin du 13ème siècle, le chœur d'origine, de style roman, est remplacé par une structure imposante du gothique rayonnant. Ce transept de grande taille comprend, à son extrémité est, une abside à six côtés. C'est là une variante par rapport à l'art de la construction des cathédrales du gothique rayonnant du nord de la France donnant la priorité au chœur lui-même. En effet, l'accentuation du transept relève davantage d'une tradition romane qui est ici adaptée en gothique. Comme la plupart des églises gothiques françaises méridionales, l'extérieur ne comporte aucun arc-boutant, la stabilité étant assurée par la structure voûtée interne.
Au 19ème siècle, la cathédrale affiche un état de conservation médiocre, ce qui pousse Viollet-le-Duc à entamer des travaux de restauration majeurs. Convaincu que la cathédrale jouait un rôle majeur dans le dispositif de défense des cités du Moyen-Age, il ajoute un parapet crénelé à la façade ouest.
Elle comporte quelques sculptures importantes, notamment le tombeau de l'évêque Radulph datant du l3ème siècle. Les vitraux de l'abside et du transept sont d'une qualité exceptionnellement grande. On peut distinguer trois périodes : fin du l3ème siècle, début du 14ème siècle et 16ème siècle.
Source : évaluation des Organisations consultatives
Les remparts intérieurs, longs de 1 250 mètres, comprennent vingt-six tours circulaires ou en fer-à-cheval. Ils se superposent en grande partie aux défenses romaines clairement visibles sur les deux tiers de leur longueur. Les remparts romains, d'environ 3 mètres d'épaisseur et 6 à 8 mètres de hauteur, sont renforcés par 34 à 38 bastions en fer-à-cheval disposés à intervalles relativement réguliers. La maçonnerie est caractéristique du style romain tardif : blocage revêtu d'assises de pierres de taille équarries entrecoupées d'assises de briques et bâties sur des fondations en béton. Les bastions sont construits sur de solides bases cubiques surmontées de tours comprenant des remparts externes semi-circulaires dont le niveau inférieur est rempli de blocage afin de résister aux chocs des béliers. Au 13ème siècle, lors de l'édification des remparts externes, cette enceinte est renforcée et reconstruite dans le style médiéval et dotée de créneaux.
Les remparts extérieurs, d'une longueur de 1 650 mètres, comportent dix-neuf tours rondes. Trois sont des barbacanes et la quatrième constitue un passage couvert reliant l'enceinte et la grande barbacane qui sera démolie au l9ème siècle. Les murs sont un peu moins hauts que ceux des remparts internes (7 à 10 mètres). Les tours sont ouvertes sur leur côté intérieur afin d'empêcher tout ennemi qui s'en serait emparé d'y trouver refuge. L'enceinte (excepté dans l'angle sud-est où la topographie naturelle offre une protection suffisante) est entourée de douves de 4 mètres de profondeur. L'espace entre les deux lignes de fortifications (les lices) est approfondi et nivelé.
A la fin du 13ème siècle, les deux séries de remparts ont fait l'objet d'une reconstruction pendant la phase finale de l'édification. Ainsi, les deux tiers des remparts intérieurs sont en grande partie reconstruits et modernisés et quatre tours sont agrandies, conformément à l'évolution de l'architecture militaire. L'une d'elles, la Porte Narbonnaise, qui représente l'une des entrées principales de la cité, est particulièrement imposante et bien aménagée.
Le château est attenant au côté intérieur de la ligne de défense interne sur la face ouest. Les remparts de la cour intérieure sont renforcés par dix tours rondes, une barbacane et des douves asséchées. Le corps de logis se divise en deux parties : l'une, bâtie contre le mur, présente deux tours trapues à une extrémité, tandis que l'autre est à angle droit. Dans leur forme d'origine, toutes deux comportaient deux étages uniquement et étaient surmontées d'un parapet crénelé.
Les remparts entourant le château et les tours sont construits au 13ème siècle, pendant la seconde phase. L'enceinte de murs crénelés est rectangulaire et munie de meurtrières. Trois bastions des remparts romains y sont également incorporés. Elle est conçue dans le style d'architecture militaire caractéristique du nord et de l'ouest de la France.
Les deux entrées principales de la cité fortifiée, la Porte Narbonnaise sur la façade est et la Porte de l'Aude sur la façade ouest représentent des dispositifs défensifs particulièrement élaborés.
Le corps principal de la cathédrale, dédiée aux saints Nazaire et Celse, comprend une nef centrale à six travées, une voûte en berceau brisé et deux collatéraux d'une hauteur comparable et entièrement voûtés. Les arcs transversaux de la voûte en berceau partent alternativement de piliers carrés cantonnés de demi-colonnes et de piles rondes. Des frises à motifs géométriques et végétaux ornent tout le tour des chapiteaux.
Vers la fin du 13ème siècle, le chœur d'origine, de style roman, est remplacé par une structure imposante du gothique rayonnant. Ce transept de grande taille comprend, à son extrémité est, une abside à six côtés. C'est là une variante par rapport à l'art de la construction des cathédrales du gothique rayonnant du nord de la France donnant la priorité au chœur lui-même. En effet, l'accentuation du transept relève davantage d'une tradition romane qui est ici adaptée en gothique. Comme la plupart des églises gothiques françaises méridionales, l'extérieur ne comporte aucun arc-boutant, la stabilité étant assurée par la structure voûtée interne.
Au 19ème siècle, la cathédrale affiche un état de conservation médiocre, ce qui pousse Viollet-le-Duc à entamer des travaux de restauration majeurs. Convaincu que la cathédrale jouait un rôle majeur dans le dispositif de défense des cités du Moyen-Age, il ajoute un parapet crénelé à la façade ouest.
Elle comporte quelques sculptures importantes, notamment le tombeau de l'évêque Radulph datant du l3ème siècle. Les vitraux de l'abside et du transept sont d'une qualité exceptionnellement grande. On peut distinguer trois périodes : fin du l3ème siècle, début du 14ème siècle et 16ème siècle.
Source : évaluation des Organisations consultatives
Parlons photos :
les photos que je vous montre ne sont pas forcément de cette année.
Septembre
Décembre : les lumières de la ville
Décembre Saint Nicolas : : Marché des artisans organisé par Carcassonne Agglo à la Cité
Juin, Fête de la musique :
Parlons documentaire :
A demain nous irons du côté de Raissac sur Lampy et ses environs.
Puis Toulouse et Montpellier, Bordeaux, au 5ème jour nous regrouperons la région de Bordeaux que j'ai visité en 2 jours. 6ème jour Marseille et sa région et Perpignan et Cerbère. Pour finir par Paris le dernier jour de la semaine.
Bonne journée
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