Matériels ok et pour mon reflex aucunes erreurs à l'horizon yesssssss !!!!
Un dimanche de repos bien mérité ! Et dire que dimanche prochain nous serons le 1er septembre et les résultats nous seront communiqués sans doute par mail ... Quelque soit le résultat pour moi vous saurez et vous aurez enfin les planches contact des photos que j'ai faites avec le texte qui va avec sur mon blog...
Parlons photographie pour changer : nous allons commencer par un portrait de Doisneau, j'ai beaucoup de livres dans ma bibliothèque de ce photographe talentueux. Je vais partager avec vous quelques photos, vidéos et textes de cet homme dont j'apprécie beaucoup son travail.
Robert Doisneau
Il est un photographe français parmi les plus populaires d'après-guerre. Il fut, aux côté de Willy Ronis, d'Edouard Boubat, d'Izis, d'Emilie Savitry et d'Yvette Troispoux, l'un des principaux représentants du courant de la photographie humaniste française."Toute ma vie je me suis amusé, je me suis fabriqué mon petit théâtre."
Robert Doisneau est né en 1912 à Gentilly, en banlieue parisienne.
Jeunesse grise derrière les rideaux de macramé d'une famille petite-bourgeoise, il apprend à 15 ans le métier de graveur lithographe à l'école Estienne et entre dans la vie active en dessinant des étiquettes pharmaceutiques.
C'est chez André Vigneau, dont il devient le jeune opérateur en 1931, qu'il découvre le monde de la création artistique qui l'animera désormais. Quatre années au service publicité des usines Renault soldées par un licenciement pour retards répétés, lui permettent d'accéder au statut convoité de photographe indépendant.
La guerre éclate alors mettant un frein brutal à ses projets. Dans l'euphorie des années d'après-guerre, bien qu'il soit quotidiennement soumis à la commande pour des raisons matérielles, il accumule les images qui feront son succès, circulant obstinément « là où il n'y a rien à voir », privilégiant les moments furtifs, les bonheurs minuscules éclairés par les rayons du soleil sur le bitume des villes.
Quand il meurt le 1er Avril 1994 à Montrouge, il laisse derrière lui quelques 450 000 négatifs qui racontent son époque avec un amusement tendre et bienveillant qui ne doit toutefois pas masquer la profondeur de la réflexion, la réelle insolence face au pouvoir et à l'autorité et l'irréductible esprit d'indépendance.
Voici quelques photos :
Jeunesse grise derrière les rideaux de macramé d'une famille petite-bourgeoise, il apprend à 15 ans le métier de graveur lithographe à l'école Estienne et entre dans la vie active en dessinant des étiquettes pharmaceutiques.
C'est chez André Vigneau, dont il devient le jeune opérateur en 1931, qu'il découvre le monde de la création artistique qui l'animera désormais. Quatre années au service publicité des usines Renault soldées par un licenciement pour retards répétés, lui permettent d'accéder au statut convoité de photographe indépendant.
La guerre éclate alors mettant un frein brutal à ses projets. Dans l'euphorie des années d'après-guerre, bien qu'il soit quotidiennement soumis à la commande pour des raisons matérielles, il accumule les images qui feront son succès, circulant obstinément « là où il n'y a rien à voir », privilégiant les moments furtifs, les bonheurs minuscules éclairés par les rayons du soleil sur le bitume des villes.
Quand il meurt le 1er Avril 1994 à Montrouge, il laisse derrière lui quelques 450 000 négatifs qui racontent son époque avec un amusement tendre et bienveillant qui ne doit toutefois pas masquer la profondeur de la réflexion, la réelle insolence face au pouvoir et à l'autorité et l'irréductible esprit d'indépendance.
Voici quelques photos :
baiser à l'hôtel de ville, Paris 1950
La première maîtresse, Paris 1935
La voiture fondue, 1944
L'information scolaire, Paris 1956
La petite Monique, Paris 1934
Photographie aérienne, 1950
Photographie scientifique, Paris 1962
Le violoncelle sous la pluie, Paris
Pour ceux qui ont envie d'en regarder plus, voici un beau diaporama musical "Il était une fois Doisneau" de 7 minutes 47 secondes
Une interwiew de Robert Doisneau en 5 parties, Bonjour, Monsieur Doisneau par Sabine Azéma :
Au revoir, Monsieur Doisneau
3ème post du compte à rebours en ligne
Bon dimanche et à demain....
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