En plus il peux y avoir des prix pour les tentes les mieux décorés comme chaque année ... j'ai pas encore eut mais qui sait !
Décoration lumineuse à l'honneur cette année afin de rendre encore plus accueillant mon stand !
Le renne qui sera sur une étagère d'angle sans doute ou ailleurs on verra ! La guirlande de toit qui ornera le tour de la tente intérieurement et la couronne qui trouvera sa place au moment de l'installation !
+ mes guirlandes de table habituelles !
Mes produits et des nouveautés seront là bien sûr !
Ce samedi nous voilà à installer dans l'humidité car évidemment il pleut ! J'ai mis un temps fou à voir comment je faisais pour mettre ce stand en valeur après quelques aller retour chez moi pour cause d' oublis, le stand est avancé mais je dois à présent me préparer douche habillement chaud et me revoilà à manger en compagnie de mon amie sur son stand. Puis je continue à installer ce que je n'ai pas fini et suis prête à 14h00 enfin !
J'ai eut droit à une photo de l'organisatrice qui a crée une page Facebook Raissac sur Lampy et dont toutes les photos des stands ont été mis en ligne voici le mien :
Laetitia pour les photos avec le père noël
Et aussi du correspondant local dont on attend l'article d'un jour à l'autre sur son blog. Et je viens d'y aller ça y est l'article y est !
Bilan du 1er jour, je suis frigorifiée mais j'ai tout de même bien travaillé. Vu l'humidité me voilà à quasiment tout remballer comme d'habitude afin de préserver le papier et les tissus aussi. Et un feu de cheminée et une bonne soupe m'attendent pour me réchauffer en remontant chez moi.
Le dimanche matin pluie de plus belle me voilà à tout réinstaller vers 9h00, l'avantage c'est qu'on peut installer autrement et rajouter aussi.
Petit bémol, tout d'un coup galère une grosse gouttière apparait tout près de l'ordinateur, du coup vite déménagé et installé des récipients à la place et mettre en biais l'imprimante pour que les gouttes ne l'atteignent pas....J'ai eut chaud, l'ordinateur et l'imprimante sont sauvés ! Aaaaaaaaaaah cette pluie !
Mon objectif était de doubler mon CA d'hier eh bien j'en étais pas loin il ne manquait que 26, 50 euros autant dire pas grand chose. La pluie, la crise et la peur du papa Noël ont eut raison de mon objectif.
Sinon en ce qui concerne le papa Noël, vos chères têtes blondes sont très impressionnées par ce personnage qui reste très important dans leur vie mais de là à franchir le pas d'être à côté pour une photo c'est trop dur encore ! Il a eut tout de même beaucoup de dessins et quelques enfants enthousiastes ou d'autres pas rassurés mais qui a quand même eut le courage de faire la photo inoubliable en souvenir ! Allez pour les autres on réessaiera peut être l'an prochain qui sait avec le temps la peur s'envolera !
Pour l'an prochain, je pourrais aussi proposer des portraits sans Papa Noël en utilisant son fauteuil ou par miracle s'il fait beau dehors sur la calèche si calèche il y a ! A méditer ....
Allez à présent je suis en préparation pour le marché de la Saint Nicolas qui aura lieu du 5 au 8 décembre dans la Cité de Carcassonne.... Cela me laisse encore quelques jours afin de tout bien préparer......
Pour les audois et les catalans, sois disant que l'alerte orange est levée sauf dans la haute vallée de l'Aude mais moi je dis faites attention sur les routes ça n'arrête pas de pleuvoir !
Vendredi, dans le cadre de l'économie sociale et solidaire, j'ai exposé dans les locaux de ma scoop et nous avons passé une bonne journée malgré la pluie. Nous avons eut quelques personnes qui sont venus voir nos créations, nous avons en attendant assisté à 2 ateliers organisés par deux entrepreneurs. L'un créatif : cartonnage où nous avons créer un cœur en tissu qui peut aller sur le sapin ou autre endroit de la maison, d'ailleurs je compte en faire pour mon stand à la cité de Carcassonne...
Puis l'autre atelier était sur la communication entre deux personnes par exemple même si c'est une conversation bienveillante on peut vexer la personne sur une phrase et comment elle peut réagir. Savoir gérer cette communication....Pour schématiser : "on peut mettre tous les cœurs qu'on veut si dans la conversation il y a eut un marron la personne ne voit que le marron" : d'où comment rendre les marrons afin que la communication reste fluide....
Très intéressants ateliers !
Très bon échange entre entrepreneur
Puis les élus sont venus en fin d'après midi et nous avons présenter nos stand et métier.
Et cerise sur le gâteau j'ai vendu mon plateau photo.
Samedi et aujourd'hui je suis au marché de noël de Raissac sur Lampy dans la cave coopérative Ouverture hier à 14h00, malgré la pluie, il y a eut quand même du monde et j'ai eut des ventes.
Aujourd'hui plus de monde attendu et plus de vente aussi et devinez malgré la pluie.....
Voilà mon beau stand avec au loin le siège du Papa Noël
Vous voulez deux réflexions :
Je suis habillée comme à Minsk (quand j'y suis allée au mois de février avec les températures négatives) pour gérer l'humidité dans cette cave et encore j'ai froid !!!
Je me dis que c'est en prévision de la Cité de Carcassonne et que l'an prochain je réserve le chauffage soufflant que doit me prêter une amie pour Raissac et Carcassonne !!!
L’armistice de 1918, signé le 11 novembre 1918 à 5 h 15, marque la fin des combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918), la victoire des Alliés et la défaite totale de l'Allemagne, mais il ne s'agit pas d'une capitulation au sens propre.
Le cessez-le-feu est effectif à onze heures, entraînant dans l'ensemble de la France des volées de cloches et des sonneries de clairons annonçant la fin d'une guerre qui a fait plus de 18 millions de morts et des millions d'invalides ou de mutilés. Les généraux allemands et alliés se réunissent dans un wagon-restaurant aménagé provenant du train d'État-Major du maréchal Foch, dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne.
Plus tard, en 1919, à Versailles, sera signé le traité de Versailles.
Cette photographie a été prise après la signature de l'armistice à la sortie du « wagon de l'Armistice » du train d'Etat-Major du maréchal Ferdinand Foch (deuxième à partir de la droite).
Première page du New York Times le 11 novembre 1918.
Tableau représentant la signature de l’Armistice de 1918 dans le wagon-salon du maréchal Foch. Derrière la table, de droite à gauche, le général Weygand, le maréchal Foch (debout) et les amiraux britanniques Rosslyn Wemyss et G. Hope. Devant, le ministre d’État allemand Matthias Erzberger, le général major Detlof von Winterfeldt (avec le casque) de l’Armée impériale, le comte Alfred von Oberndorff des Affaires étrangères et le capitaine de vaisseau Ernst Vanselow de la Marine impériale.
En France ce jour est férié.
Aujourd'hui plus de poilus vivants mais nous avons tous un devoir de mémoire à perpétuer...
Nous avons eut 2 articles sur la Dépêche du Midi :
Carcassonne. L'union des artistes fait leur force économique
témoignages
Claude Brial, ex-assistante sociale et ex-accompagnatrice sociale du Parchemin porte un projet de coopérative d'artistes qui répond aux besoins et à l'urgence économique. / Photo DDM, R. Garcia
Claude Brial, Énergies alternatives, le GRAPh et une douzaine d’artistes fondent une coopérative. Objectif : développer des ressources économiques artistiques.
Des peintres, sculpteurs, photographes et autres plasticiens isolés qui galèrent pour joindre les deux bouts et qui, faute de reconnaissance, de diffusion, de visibilité et de commercialisation régulière de leurs productions, en viennent à postuler sur des chantiers d’insertion, à mille lieux de leurs métiers, Claude Brial en a croisé quelques-uns. Au Parchemin, l’association d’insertion limouxine où elle a travaillé durant plusieurs années, l’accompagnatrice sociale a rencontré bon nombre d’artistes empêtrés dans la pauvreté. «Ce n’est pas un problème social. Les artistes n’ont pas besoin d’un accompagnement social. C’est un problème économique. Car la question de fond qui est posée est celle de la place de l’artiste dans la société et de la représentation que l’on en a», dit-elle. Prononcez le mot artiste et on vous répond passion, rarement travail. Et lorsque ledit artiste, pourtant formé, pourtant expérimenté, pourtant inscrit dans une longue démarche de création toque à la porte d’une institution et qu’il s’entend dire qu’il n’est pas sérieux et que par les temps qui courent, il ferait mieux de chercher un «vrai» boulot, il y a de quoi effectivement, se mettre en colère. Claude Brial n’est pas seule à faire ce constat. Il est partagé par de nombreux créateurs mais aussi d’autres structures audoises d’insertion ou de développement local.
Narbonne passe commande
Une cinquantaine d’artistes ont même phosphoré sur la question en 2010 et 2011, lors de deux journées de table ronde. Les besoins qui ont été posés tournent essentiellement autour de l’économie.
C’est ainsi qu’épaulée par la coopérative Énergies alternatives, le GRAPh et un noyau d’une douzaine d’artistes, Claude Brial a pris son bâton de pèlerin auprès des entreprises, des collectivités, des institutionnels pour défendre un projet de création d’une coopérative d’artistes, sous la forme d’une société coopérative d’intérêts collectifs (lire ci-dessous) basée à Carcassonne et à Narbonne. Objectifs principaux : commercialiser des événements artistiques interdisciplinaires explorant des enjeux sociaux ou sociétaux, animer des ateliers à destination de divers publics, promouvoir l’activité artistique de chacun des sociétaires (ce sera le rôle de Claude). L’Agglo du Grand Narbonne est la première à avoir réagi : elle a passé commande, pour le mois de décembre, d’une création installation dans le cadre du mois de lutte contre les discriminations. L’art, support à l’éveil des consciences et matériau à débat... Ce n’est pas un travail ça ?
Témoignages
Lætitia Bernard > photographe. «Mon problème, c’est la commercialisation. Savoir que Claude va gérer ça, c’est très important pour moi. J’espère que ça va faire naître plein de projets et permettre de mieux me faire connaître. Les temps sont durs. L’art n’est reconnu que quand l’économie va bien ! Je suis en train de préparer les marchés de Noël avec des cartes postales, des calendriers…» Marie-Claude Touya* > plasticienne. «Beaucoup d’artistes survivent avec le RSA. C’est très dur. Produire, c’est bien mais si c’est pour que ça reste dans l’atelier… Je fais des petits boulots pour joindre les deux bouts. En plus de la solution économique que peut apporter la coopérative, ce qui m’intéresse, c’est de travailler à plusieurs pour répondre à la commande d’un événement. C’est une autre façon de créer qui va bousculer les ego»
Une association de préfiguration en route
La SCIC fait partie de ces coopératives issues du mouvement de l’économie sociale et solidaire. La particularité de la SCIC tient dans ses enjeux : elle doit être d’utilité sociale et toujours en lien avec le territoire. Son statut fait que tout un chacun peut être sociétaire et prendre part au capital : les artistes de la coopérative bien sûr, mais aussi des particuliers, des collectivités, des entrepreneurs, des collectivités... Qui prend une part rentre automatiquement dans la gouvernance. Reste à établir dans quel cadre. C’est le but de l’association de préfiguration de la SCIC qui sera mise en place ce mardi 29 octobre dans les locaux carcassonnais d’Énergies alternatives.
Cette première étape permettra de ficeler la création de la coopérative. Claude Brial mise sur six mois au maximum. À terme, si la coop est viable, la question d’un lieu se posera, notamment pour la partie animation mais aussi pour la mutualisation de moyens, dont des ateliers d’artistes.
Céline Samperez-Bedos
*Juste un petit lapsus du journal il s'agit de Marie-Claire Touya
Et
Carcassonne. L'éclosion d'un bouquet d'Artichoc
coopérative d'artistes
L'association Artichoc a été mise en orbite, hier./ Photo DDM, JLB
Ce n’est pas encore une coopérative mais cela en prend le chemin, via une première étape : l’association de préfiguration. Son nom : Artichoc. Conduite par Claude Brial, épaulée par la coopérative énergies alternatives et le GRAPh et mis en route par un noyau d’une douzaine d’artistes, la fondation est toute fraîche. Elle date d’hier. Permettre aux artistes de développer d’autres ressources économiques via des ateliers et des créations d’événements culturels, les aider à promouvoir leurs productions et à les diffuser : ce sont là les axes principaux de cette structure associative, vouée d’ici six mois à se transformer en société civile d’intérêts collectifs («La Dépêche du Midi» du 28 octobre). Première à s’être intéressée à la démarche, l’Agglo du grand Narbonne a passé commande d’une création-installation artistique sur le thème des discriminations. Hier, les plasticiens, photographes, musiciens et autres peintres et comédiens ont commencé à défricher le terrain. «Ce qui m’intéresse dans ce projet, c’est l’idée d’échanges. Cela va booster la créativité», estime Nancy, plasticienne et art-thérapeute.
La Dépêche du Midi
En début de semaine, nous nous sommes réunis pour déterminer enfin l'orthographe que sera cette association d' artiste et Artichocs a été retenu. Puis nous avons élu le conseil d'administration qui sera de 5 personnes dont moi et le bureau qui se constituera d'un président, d'un trésorier et d'un membre je vous le donne en mille je suis le membre. Nous avons fait une prévision qui j'espère aboutira : cette association ne durera que 6 mois avant de basculer en SCIC.
Je nous souhaite bonne chance et je pense que c'est une très bonne chose mais beaucoup de travail on doit fournir avant que ça marche....A suivre !
Samedi prochain, j'aurais un stand où vous pourrez commencer vos cadeaux de noël ou vous faire plaisir et je pourrais photographier vos chères têtes blondes car j'ai invité le papa noël pour l'occasion à Raissac sur Lampy.
Je vais faire une petite pause dans mon travail et partir ce matin aux champignons ....
Je vous souhaite un bon week-end à tous et à très bientôt
Oui merci pour tes coms ça m'a fait plaisir et ton avis compte beaucoup.
Oui j'aime partager, offrir mes photos. Il me semble que je le pratique très souvent. J'aime aussi recevoir des coms sur mes partages ce qui n'est pas souvent le cas même si sur Facebook j'ai très souvent des j'aime. Les coms sur mon blog sont très rares c'est dommage car toutes critiques sont constructives.
Oui je ne mets pas beaucoup de photos car mes photos ne sont pas gratuites ni libres de droit. Je suis en train d'étudier afin de pouvoir en mettre davantage sans qu'on puisse les prendre sur ce blog.
Oui je trouve qu'Internet est formidable car on peut montrer un peu de son travail. Mais je ne veux pas que mes photos soient prises pour usage commercial sans me le demander au préalable.
Oui mes photos sont à vendre. Même si tout le monde fait des photos, une photographie est au même titre qu'une peinture. Ce n'est pas à toi que je vais l'apprendre.
Oui Oui Oui ....Promis dans un temps proche, il y aura plus de mes photos en ligne. Mais c'est pas pour autant que je ne ferais plus de chapitre comme celui que j'ai fait sur les voyages.
Oui je dois travailler sur mes marchés de noël et sur mon film que je dois rendre lundi. J'ai déjà trouvé une bonne idée et à concrétiser à présent.
Voilà j'espère avoir répondu à tes attentes et à tes interrogations.
Oui je mettrais des photos d'automne sauf qu'aujourd'hui c'est raté il pleut.
Oui il pleut aujourd'hui, il y aura des champignons enfin peut-être !
Février 2012 Après 5 ans de virtualité, je reviens en 3D visiter mon amie...Pendant qu'elle travaille je fais des photos. Et j'ai ramené de bons souvenirs et une exposition dans mes bagages. Pour l'instant Une partie de l'exposition a été proposé a visa off Perpignan mais n'a pas été retenue. Elle est proposée pour la mairie de Bordeaux et j'attends la réponse. Mais l'ensemble de cette exposition n'est pas encore concrétisée et verra le jour en 2014 probablement. D'ici là on en reparlera !
2 fois à Minsk, 2 fois en février avec la neige, prochaine fois, un autre mois peut-être je ne verrais pas la neige cette fois ! Qui sait ...On verra bien.
Voici les textes des chapitres du livre que j'ai crée et qui se vendra lors de l'exposition :
Voilà ce que je peux dire de Minsk et de tous les voyages que j'ai fait. J'ai une amie qui est venue faire un petit tour sur mes articles et m'a dis attention c'est un blog professionnel tu ne racontes pas ta vie et tes photos il y en a ? Alors nous n'avons pas la même opinion là dessus tout d'abord je ne pense pas raconter ma vie, je vous raconte quelques anecdotes et ce n'est pas des secrets d'état ....Certes c'est un blog professionnel mais j'aime avoir un blog vivant et mes narrations parfois comiques, parfois intimes et parfois instructives c'est comme ça que je conçois mon blog. Dans mes post , des fois vous avez mes photos mais ce n'est pas forcé ! Vu le nombre qui vient chaque jour, je m'aperçois que ça vous plait et c'est l'essentiel. Et puis si je racontais ma vie autant faire un livre et le vendre au moins ça me rapporterait lol !
A présent le chapitre voyage est fini et nous nous reverrons très bientôt pour un autre chapitre. Ces prochains jours, je vais être occupé à préparer le marché de noël qui arrive mais aussi les devoirs du conservatoire que je dois faire et oui lundi c'est la rentrée !!!
J'ai participé à un séminaire tri-national organisé par l'association Roudel et le Graph. "le tabou en photographie" qui a donné lieu au final à une exposition collective au Château de Malves avec tous les participants présents. Et par la suite au musée des automates à Limoux, on a pu exposer les photos imprimés en grand durant un mois. Pendant le séjour d'une semaine que ce soit Berlin, Minsk ou Carcassonne, nos journées étaient ponctuées de visites, d'exercice linguistique ou de jeux, de travail sur le tabou, de découverte culinaire, de rencontres avec photographes, expositions photographie et musée. Mais avant tout d'un échange incroyable entre nous. Nous avions heureusement des traducteurs dans le groupe et chaque chose que l'on faisait était traduite oralement en français en allemand et en russe. Très belle expérience que ce séminaire là et j'ai rencontré une amie biélorusse lors de notre séjour à Minsk, ça va faire 7 ans qu'on se connait en février 2014 waouh déjà ! Mais ça est d'ordre privé.
Carcassonne. Les tabous tombent en image
Société. Le GRAPH a participé à un programme européen, de Berlin à Minsk.
Qu'est-ce qui est tabou ? Ce groupe de Français, d'Allemands et de Biélorusses a eu un an pour répondre à cette question. Non pas avec des mots mais des photos. L'occasion de se lier en confrontant ce qui fait débat, et ce que l'on cache dans son pays. Mise sur pied par l'association audoise ROUDEL (relais d'ouvertures et d'échanges culturels et linguistiques), financée par l'office franco-allemand de la jeunesse, l'opération a été conduite avec le GRAPH (groupe de recherches artistiques et photographiques). Huit élèves de l'association ont poursuivi cette belle aventure qui a démarré à Berlin en octobre 2006, avant de faire escale à Minsk et de s'achever à Malves, il y a quelques jours. Là, les stagiaires se sont retrouvés une dernière fois, pour peaufiner leurs projets artistiques. Gilles Bourgois, plasticien, qui mène un travail sur la maladie, en résidence au château a partagé son expérience. Marie-Véronique Leconte, cheville ouvrière de la galerie toulousaine du Château d'eau a évoqué les tabous au travers de l'histoire de la photographie. Au final, 20 projets individuels ont éclos. Installation vidéo, photo argentique noir et blanc, photo numérique… Chacun y est allé de ses préférences techniques et de sa sensibilité pour évoquer ce qui fait tabou. La Shoah et l'identité nationale en Allemagne, la solitude et la drogue en Biélorussie, la maladie, l'alcoolisme, la violence à l'encontre des femmes, le camp Pujol lié à l'histoire des Harkis… Autant de sujets qui ne s'étalent pas au grand jour et que ces photographes européens après en avoir débattu ont choisi d'éclairer. Présentée quelque trois petits jours à Malves, l'exposition sera visible à Limoux, lors de la prochaine édition de Toques et Clochers en avril 2008.
La Dépêche du Midi"
Berlin est la capitale et la plus grande ville d'Allemagne, ainsi que la deuxième plus grande ville de l'Union européenne. Située dans le nord-est du pays, elle forme un land (État fédéré) à part entière et compte environ 3,4 millions d'habitants. Son agglomération s'étend sur 2 284 km2 et compte un peu plus de 4 millions d'habitants, sa zone urbaine élargie 5 025 272 habitants (soit la deuxième du pays après celle de la région de la Ruhr) et son aire urbaine de la région métropolitaine de Berlin-Brandebourg dépasse, quant à elle, les frontières du land et regroupe au total près de 6 millions d'habitants, ce qui en fait une des dix métropoles les plus peuplées de l'Union européenne.
Fondée au XIIe siècle, Berlin a été successivement capitale du royaume de Prusse (1701-1871), de l'Empire allemand (1871-1918), de la République de Weimar (1919-1933) et du Troisième Reich (1933-1945). Après 1945 et jusqu'à la chute du Mur de Berlin en 1989, la ville est partagée en quatre secteurs d'occupation. Pendant la Guerre froide, le secteur soviétique de la ville, nommé Berlin-Est, est devenu la capitale de la République démocratique allemande, tandis que Berlin-Ouest était politiquement rattachée à la République fédérale d'Allemagne, devenant ainsi un bastion avancé du « Monde libre » à l'intérieur du Bloc communiste. Après la chute du mur, Berlin redevint, en 1990, la capitale de l'Allemagne alors réunifiée, et les principales institutions fédérales y emménagèrent en 1999.
Berlin est une ville mondiale culturelle et artistique de premier plan. La ville abrite 165 musées, 146 bibliothèques et 60 théâtres. En 2008, Berlin a accueilli près de 8 millions de visiteurs.
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Minsk (en biélorusse : Мінск ; en russe : Минск ; en polonais : Mińsk) est la capitale de la République de Biélorussie. Elle compte environ 1,9 million d'habitants, sur les 9,7 millions qui peuplent le pays. La ville de Minsk est située dans la partie centrale de la Biélorussie, dans le bassin du Dniepr, sur la rivière Svislotch. Minsk se trouve à 690 km de Moscou et à 2 300 km de Paris.
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Carcassonne est une commune française, préfecture du département de l'Aude dans la région Languedoc-Roussillon.
Voir le post "Carcassonne" de la semaine dernière si vous voulez connaitre cette ville à travers mon
choix de documents et mes écrits.
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Voilà ce séminaire restera toujours graver dans ma mémoire. Ce fut très enrichissant et de pouvoir avoir ce genre de communication entre trois nations c'est vraiment une chance. Merci aux 2 associations audoises qui ont permis que ça arrive.
+ mes guirlandes de table habituelles !
